L'histoire de ParaRush
ParaRush est née d’une conviction : la sécurité doit être simple, rapide et accessible à tous.

Tout commence par un constat : face au feu, aux accidents domestiques, au chaos soudain, ce qui sauve, c’est la préparation. Nous avons choisi de commencer par un produit trop souvent ignoré, mais absolument essentiel : la couverture anti-feu.

Visible, robuste, facile à manier, elle devient, dans nos mains, le premier geste d’un réflexe moderne : agir au lieu de subir. Prévoir l’urgence, pour mieux la contenir.

Mais ParaRush, ce n’est pas juste un nom. C’est un mot inventé, un choix sémantique fort, porteur de sens et d'engagement.

“Para”, du grec παρά (à côté de, contre, protéger) et du latin parare (préparer, prémunir, organiser), évoque la veille active. L’avant, le “au cas où”. Il parle de prévention, de défense, de lucidité face au danger. “Para”, c’est ce qu’on fait avant que ça n’arrive, parce qu’on sait que tout peut basculer.

“Rush”, terme anglais, désigne l’urgence, la précipitation, la réaction immédiate. C’est la vitesse à laquelle tout peut arriver. Le feu, l’accident, le choc. “Rush”, c’est l’instant où l’on doit agir, décider, intervenir. Un mot qui traduit la pression, mais aussi la capacité d’action rapide.

En fusionnant Para et Rush, ParaRush devient une déclaration. Un mot rare, fluide, mais chargé. Il incarne l’idée de réagir vite, parce qu’on s’est préparé avant. Il réconcilie deux notions souvent opposées : la réflexion et l’action.

ParaRush, c’est la sécurité pensée comme un réflexe. C’est l’idée qu’on peut affronter l’urgence sans panique — parce qu’on a les bons outils, au bon moment.

Aujourd’hui, ParaRush propose des couvertures anti-feu conçues pour répondre à cette promesse : être prêtes, visibles, accessibles, efficaces. Que ce soit dans un foyer, une entreprise, une cuisine familiale ou un espace professionnel, la sécurité ne doit jamais être une option.

Mais ce n’est qu’un début.

L’avenir de ParaRush ne se limite pas aux évidences. Notre chemin pourrait surprendre — mais jamais par hasard.

Car là où le risque surgit, nous voulons être prêts. Et peut-être même, là où personne ne nous attend.